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L'UNICEF va construire une école dans les camps de réfugiés sahraouis.

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L'UNICEF Children's Fund, une filiale de l'Algérie, fournira aux enfants réfugiés sahraouis une école pour l'année scolaire 2017-2018, a annoncé dimanche le bureau de l'UNICEF."UNICEF Algérie soutient la nouvelle année scolaire pour les enfants réfugiés sahraouis dans le cadre de leur réponse humanitaire aux enfants vivant dans des camps de réfugiés sahraouis à Tindouf, le bureau de l'UNICEF a apporté un soutien continu pendant des années au secteur de l'éducation et de la santé pour les réfugiés ", a déclaré le Fonds dans un communiqué. 

Soulignant que, pour l'année scolaire 2017-2018, l'UNICEF fournira plus de 235 000 cahiers, 50 000 crayons et autres articles nécessaires à l'école, a déclaré la source, «ces articles répondront aux besoins de tous les élèves à différents stades». Une cérémonie en présence d'une délégation de l'UNICEF est prévue mardi dans le camp de réfugiés de Smara pour débuter le début de l'année scolaire, a déclaré la source.

Le mineur Abdelhafid Habib, malade, a été condamné à 2 ans et 6 mois de prison ferme

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Abdelhafid Habib, a été condamné à 2 ans et 6 mois de prison ferme
Hafid est mineur et diabétique de naissance
Charge : lors de la marche de 20 août 2017 à AL Hoceima, il déclaré à la chaine Aljazeera international en anglais, « ils nous répriment, ils tirent sur nous avec du gaz lacrymogène, nous n’avons aucun droit dans ce Maroc, nous ne cherchons pas la confrontation, nous sommes pacifistes, nous revendiquons des droits, ils ne veulent rien nous donner c’est tout ce que j’ai à dire »
https://www.youtube.com/watch?v=TWsf1KkXCHA

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Article 11

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Hier au musée national de l'immigration, Nadir Dendoune a projeté en avant-première son film "Des figues en avril". Il a tout simplement filmé sa mère, Messaouda Dendoune, née en 1936 en Kabylie, arrivée en France en 1958. 
 Un témoignage rare et poignant sur la condition des femmes immigrées, sur l'inguérissable blessure de l'exil, sur la vieillesse, aussi. À voir absolument.

Maroc: RSF "profondément inquiet" après la condamnation d'un journaliste en appel

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Par AFP , publié le , mis à jour à
Le rapport 2017 sur la liberté de la presse de Reporters sans Frontières, présenté le 26 avril 2017 à Paris 
Le rapport 2017 sur la liberté de la presse de Reporters sans Frontières, présenté le 26 avril 2017 à Paris
afp.com/PHILIPPE LOPEZ

 

 Rabat - L'organisation Reporters sans frontières (RSF) s'est dit mercredi "profondément inquiète" après la condamnation en appel à un an de prison d'un journaliste marocain, en attente par ailleurs d'un autre procès.

Poursuivi pour "avoir incité à une manifestation interdite", Hamid Al Mahdaoui, directeur du site Badil.info, a vu sa peine initiale "multipliée par quatre", avec sa condamnation mardi par la Cour d'appel d'al-Hoceïma (nord) à un an de prison ferme, a rappelé RSF dans un communiqué. 
Après cette "peine nettement revue à la hausse", l'ONG a dénoncé un "verdict incompréhensible" et s'est dit d'autant plus "inquiète" que M. Mahdaoui "doit faire face à un deuxième procès pour +atteinte à la sûreté de l'État+". 

"La cour qui disposait de vidéos, avait en sa possession des preuves tangibles de son innocence", a affirmé RSF, appelant la justice marocaine "à abandonner les charges et à libérer au plus vite un journaliste qui, en se trouvant au coeur des événements, n'a fait que son métier". 


Toujours selon RSF, qui cite l'épouse du journaliste condamné, celui-ci a entamé une grève de la faim pour "dénoncer un procès inéquitable, la violation de la liberté d'expression et le non-respect des droits humains". 
Le 25 juillet, M. Mahdaoui avait été condamné en première instance à trois mois de prison ferme et à une amende de 20.000 dirhams (1.800 euros).  
Il avait été arrêté le 20 juillet à Al-Hoceïma, dans le Rif, puis jugé pour avoir appelé à prendre part à une manifestation interdite dans cette ville, épicentre d'un mouvement de contestation qui secoue depuis octobre cette région du nord du royaume.  
Il est poursuivi également pour "non dénonciation d'un crime portant atteinte à la sûreté de l'Etat", avec un procès prévu le 2 octobre. "Pour ce chef d'accusation, il encourt une peine allant de deux à cinq ans de prison ferme", s'est alarmé RSF. 
Très actif sur les réseaux sociaux, M. Mahdaoui est connu pour ses prises de position tranchées contre le pouvoir marocain et ses vidéos diffusées sur Youtube dans lesquels il commente l'actualité. Il a déjà fait l'objet d'une dizaine de plaintes, notamment pour diffamation. 

22/23 septembre : 3ème Fête des Alp’ternatives à Gap, Hautes Alpes

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Thème général
La presse : outil de domination ou acteur 
de la démocratie ?
Vendredi 22 septembre au Club à Gap(à confirmer)
20h30 L’ascension(film) puis rencontre avec Nadir Dendoune (auteur d' »Un tocard sur le toit du monde »et journaliste indépendant.)


Samedi 23 septembre à Rambaud
A.G. d’Ensemble/PACG 05 :
– 9h AG statutaire de l’association  (bilan d’activité, moral, financier, élection CA…)
– 10h30 débat « que faire face à cette nouvelle situation politique ? »
12h30 apéro-pique nique partagé !14h ouverture des stands et de la buvette.

14h30 : Zoom : Energie en coopérative dans le 05 !

15h : Débat : Quels médias alternatifs pour aujourd’hui et demain ? avec des journalistes de différents médias de la presse alternative régionale et nationale.

16h spectacle de magie pour petits et grands ! avec Djiwan.

16h30 : Zoom : témoignage autour de l’accueil des migrants dans le 05.

17h : Rencontre  : la liberté de la presse en France et dans le monde : Edwy Plenel, fondateur de médiapart.

images (15)19h : Zoom : Quand la grève surgit ! témoignage de salarié-e-s de la ville de Gap et de la polyclinique.

19h30 : stand cuisine africaine + glaces
21h Concert/Bal : HBNF (Haut Buëch Night Fever)

prix libre :
– tarif minimum conseillé : 5 euros (on sauve les meubles), 10€ (on équilibre) et 15€ (à l’an prochain !!! ).*
réservez dès à présent ici: 
https://www.helloasso.com/associations/alp-ternatives/evenements/3eme-fete-des-alp-ternatives
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Les forces marocaines sont intervenues violemment le samedi dans la ville occupée d'el-Aaiun,

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Javier Carlos Cristóbal


El-Aaiun (territoires occupés), le 10 septembre 2017 (sps) - les forces marocaines sont intervenues violemment le samedi dans la ville occupée d'El-Aaiun, contre des manifestants pacifiques sahraouis, pour la plupart des chômeurs qui manifestent pour réclamer leur  droits légitimes et condamner la grave perte de la richesse du peuple sahraoui.

L'intervention violente a entraîné de nombreuses blessures parmi les manifestants.

Les autorités marocaines poursuivent une politique d'exclusion et de marginalisation de centaines de chômeurs  sahraouis, les empêchant de bénéficier de la richesse de leur territoire qui est occupé. (sps)

"Drôle d'occupation pour une grand-mère" le nouveau livre de Marie-Jo Fressard est paru, édition Apso

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Amis du Peuple du Sahara Occidental








mercredi 13 septembre 2017





"Drôle d'occupation pour une grand-mère", le nouveau livre de Marie-Jo Fressard est paru, édition Apso

Pas de préavis, parution immédiate !
"Drôle d'occupation pour une grand-mère - 
histoire de prisonniers politiques sahraouis, petite histoire du conflit".

Passionnée par le Maroc, Marie-Jo Fressard en découvre peu à peu la face cachée.
D’abord la répression envers les opposants au régime, puis l’annexion et le pillage du Sahara Occidental. Dans ce livre généreux, et son style si vivant et si humain, elle nous parle de sa relation avec des prisonniers politiques sahraouis.
S’entrecroisent ainsi l’Histoire et les destins de Salek, Hassan et Salah Eddine.
Pour éclairer son témoignage Marie-Jo rappelle les étapes clés du conflit, les stratégies des différents acteurs, les évolutions récentes.
Un livre qui contribue à briser le silence qui entoure cette colonisation illégale, et à redonner espoir à ceux qui, en dépit du cynisme des puissances dominantes, croient encore en la force du droit international.
                                                                   Amisdu Peuple du Sahara Occidental

Pour l'acheter :
Commander à APSO, en écrivant à APSOlument  @  yahoo.fr
ISBN 978-2-9552413-2-5
84p.  8 €

Sahara occidental: Eurodéputée préconise des sanctions contre le Maroc pour violation des droits de l'Homme

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Sahara occidental: Eurodéputée préconise des sanctions contre le Maroc pour violation des droits de l'Homme
APS PHOTOS © 2017
BRUXELLES-13/9/2017 
 Les violations systématiques des droits de l'Homme par les autorités marocaines dans les territoires occupés du Sahara occidental préoccupent la députée européenne Paloma Lopez qui a interpellé la Commission européenne sur les sanctions à imposer sur le Maroc eu égard à la persistance de ces violations.
"Compte tenu de la violation systématique des droits de la population sahraouie par les autorités occupantes, quelles sanctions seront imposées sur le Royaume du Maroc?", a-t-elle écrit dans une question adressée à la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini.

L'eurodéputée Paloma Lopez a cité, à ce titre, le cas de l'activiste sahraoui Deida EL Yazid et de sa famille dont la maison a été incendiée le 30 juillet dernier./
Après cela, Deida El Yazid et sa famille ont installé une tente devant les restes de la maison incendiée, protestant pacifiquement contre cet acte de violence, "perpétré en collusion avec les autorités occupantes du Royaume du Maroc", a-t-elle souligné.
Citant des militants des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental, Paloma Lopez a fait savoir que les autorités occupantes ont tenté d'expulser par la force l'activiste sahraoui et sa famille le 4 août dernier et ont, à maintes reprises, recouru au harcèlement et à la violence.
Dans la soirée du 9 août, a-t-elle poursuivi, deux unités de police de l'administration marocaine occupante ont attaqué la famille de l'activiste Deida El Yazid. "Une autre attaque a eu lieu le 28 août en toute impunité", a-t-elle encore ajouté.
La députée européenne a interrogé, à ce titre, la Commission européenne sur les mesures qu'elle compte prendre pour que les droits fondamentaux de cet activiste sahraoui et de sa famille soient respectés.


 De nombreuses organisations internationales des droits de l'Homme telles qu'Amnesty International, Human Rights Watch, l'Acat, ainsi que plusieurs organes des Nations unies et le Parlement européen continuent à dénoncer les violations des droits de l'Homme dont est victime la population sahraouie.
Selon ces organisations, les violations des droits de l'Homme dans les territoires sahraouis occupés se sont encore aggravées, malgré les engagements pris par le Maroc.
"Les manifestations, toujours pacifiques, de la population sahraouie pour le droit à l'autodétermination sont violemment réprimées", ont dénoncé, à plusieurs reprises ces organisations, affirmant que de nombreux militants sahraouis arrêtés sont condamnés au cours de procès inéquitables.
La pratique de la torture et des traitements inhumains perdure, selon plusieurs organes onusiens. Les libertés d'expression, d'association, d'information et de manifestation ne sont toujours pas respectées et des délégations d'observateurs étrangers et des journalistes sont régulièrement expulsés, a-t-on ajouté.
La Minurso, qui est sur place depuis 1991 pour organiser le référendum d'autodétermination et superviser le cessez-le-feu entre le Maroc et le Front Polisario, reste la seule mission des Nations unies en Afrique dépourvue d'un mandat de surveillance du respect des droits de l'Homme.

Agressions de la police marocaine envers un vieux Sahraoui

Grève de la faim des prisonniers rifains : «La liberté ou la mort»

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Par Oumaima Chaoui, Libération, correspondance à Casablanca
Manifestation du Hirak, le 11 juin à Imzouren.
Manifestation du Hirak, le 11 juin à Imzouren.Photo Fadel Senna. AFP
Plusieurs meneurs du Hirak, le mouvement de révolte qui secoue la région du Rif depuis un an, ont cessé de s'alimenter. Jeudi, leurs demandes de libération provisoires ont été rejetées.
Emprisonnés dans l’attente de leur procès, plusieurs meneurs du Hirak, le mouvement de contestation sociale et politique qui agite la région du Rif, dans le nord du Maroc, depuis près d’un an, ont entamé ces derniers jours une grève de la faim. Il est difficile de déterminer avec exactitude, entre les déclarations contradictoires des avocats et de l’administration pénitentiaire, combien d’activistes, parmi les 50 détenus dans la prison casablancaise d’Oukacha, ont cessé de s’alimenter. On sait néanmoins que Nabil Ahamjik, le bras droit de la figure centrale du Hirak, Nasser Zefzafi, jeûne depuis lundi, ainsi que deux autres figures du mouvement, Mohamed Jelloul et Rabii al-Ablak.
«C’est une grève de la faim illimitée, assure Mohamed Ahamjik, qui a rendu visite à son frère cette semaine. Ils demandent la libération de tous les prisonniers du Hirak.» Alors que la dernière manifestation du mouvement à Al-Hoceïma, l’épicentre de la révolte, remonte au 20 juillet, 350 personnes sont actuellement emprisonnées dans le Rif, selon les estimations du coordinateur du Comité de défense des détenus du Hirak, Rachid Belaali. Elles ont été arrêtées pour avoir participé à des manifestations interdites par les autorités, ou pour avoir appelé la population à se rassembler.
L’espace de quelques semaines, cet été, les militants détenus ont espéré une grâce royale. Quelque 58 d’entre eux, en majorité des jeunes et des mineurs, ont été libérés à l’occasion de la fête du Trône, dont Silya Ziani, chanteuse de 23 ans et figure médiatique du mouvement. Mais les cadres du Hirak sont restés derrière les barreaux. Pour les grévistes de la faim de Casablanca, le mot d’ordre est désormais «la liberté ou la mort», confirme l’un de leurs avocats, Khalid Omeza. La liberté ne semble pas d’actualité. La cour criminelle de Casablanca a refusé, ce jeudi, les demandes de libération provisoire de 18 membres du mouvement – dont Nabil Ahamjik – déposées par 57 avocats deux jours plus tôt, lors d’une séance houleuse. Devant les familles des militants, les nombreux journalistes et même les représentants du Conseil national des droits de l’homme, venus observer le déroulement du procès, l’équipe de défense a dénoncé à plusieurs reprises un «procès politique» et le placement en détention préventive des accusés, «injustifié».
Le représentant du ministère public s’est montré inflexible, soulignant la gravité des chefs d’inculpation, qui vont de «la participation à l’organisation d’une manifestation non autorisée»à «l’atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat», crime passible de la peine capitale (sur laquelle le Maroc observe un moratoire de fait depuis 1993). La cour a cependant accédé à la demande de report des avocats : le procès a été reprogrammé au 3 octobre.
En revanche, la date du procès du leader du Hirak, Nasser Zefzafi, n’a toujours pas été officiellement annoncée. Il pourrait à lui seul rallumer la révolte du Rif, tant Zefzafi est devenu le héros des militants du mouvement. Selon MOmeza, le juge d’instruction chargé de l’enquête aurait réduit les charges retenues contre lui. Cette initiative aurait «déplu au procureur, qui a déposé un recours», assure l’avocat. Une illustration du «caractère politique de ces procès contre des gens qui n’ont fait que protester contre la situation de leur région», estime Ahmed El Haij, président de l’Association marocaine de droits de l’homme. C’est le signe, ajoute-t-il, que les «tentatives de médiation, menées par des figures de la société civile, n’aboutissent pas : l’Etat veut montrer qu’il ira jusqu’au bout». Autre signe de l’intransigeance des autorités, à Al Hoceima, les manifestations ont cessé, mais pas les arrestations. MBelaali recense entre trois et dix nouvelles interpellations chaque jour.

Salah Hamouri : le Président de la République française doit siffler la fin de la partie !

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par AFPS

ASSEZ ! Combien de rebondissements, de reports, de changements de tactique, de prisons ou de tribunaux, de condamnations provisoires, de nouvelles condamnations, d’annonces de libération ou de mises en détention administrative, d’ordres du ministre de la défense, d’appels du procureur, de décisions provisoire, combien de coups au cœur Salah Hamouri va-t-il devoir encore subir avant que le Président de la République ne réalise qu’il se passe de l’autre côté de la Méditerranée un véritable scandale, un déni de justice, une atteinte aux droits humains élémentaires qui auraient déjà dû attirer son attention depuis le 23 août.
Monsieur le Président, Salah Hamouri n’est pas un jouet à disposition de qui entend se distraire et tester votre silence ! C’est un être humain, un citoyen français, défenseur des droits humains, avocat, père de famille ! Il est tombé dans les griffes d’un pouvoir qui n’a que faire de l’humanité de l’Autre ou du droit international ne serait-ce qu’en ce qui concerne le traitement des prisonniers politiques qui, contre toute notion de droit, remplissent les prisons en Israël.

Hamid El Mahdaoui : Peine de prison ferme alourdie à un an en appel

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yabiladi, 12/9/2017
 La cour d’appel d’Al Hoceima a tranché à l’encontre du directeur du site Badil.info, Hamid El Mahdaoui. Lundi soir, la justice a prononcé une peine d’un an de prison ferme au lieu du jugement initial de trois mois de prison rendu par le tribunal de première instance.
Le procès a duré plus de 20 heures, comme le précise le site Badil.info. Le jugement n’a été rendu que ce matin, très tôt.
Selon nos confrères d’Alyaoum 24, la défense du journaliste El Mahdaoui avait demandé le report du procès en appel au 11 septembre pour réclamer sa libération, «mais le juge a refusé de libérer El Mahdaoui».
Le journaliste fait également face à une accusation de «non dénonciation d’un crime portant atteinte à la sûreté de l'Etat» suite à son arrestation dans la ville d’Al Hoceima le 20 juillet dernier.
Le tribunal de première instance d’Al Hoceima a condamné, le 25 juillet dernier, Hamids El Mahdaoui à trois mois de prison ferme et 20 000 dirhams d’amende sous l’accusation «organisation d’une manifestation non autorisée» et d’autres chefs d’accusation retenus contre lui comme «incitation à commettre un délit à travers des discours et slogans dans un lieu public».
Le directeur de Badil.info a entamé une grève ouverte de la faim juste après l’annonce du verdict. Dans une lettre adressée à l’opinion publique et internationale, Hamid Al Mahdaoui affi la faim «jusqu’à la mort», comme l’indique le site Badil.info.
Lire aussi

Moscovici : le recouvrement des droits de douanes par le Sahara Occidental «n’est pas justifié». L'arrêt de la CJUE enfin respecté ?

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septembre 14, 2017 - 10:28 1 Commentaire
Moscovici
Pierre Moscovici. D. R.
Le recouvrement des droits de douanes sur les produits importés dans l’UE du Sahara Occidental occupé avant la publication de l’arrêt de la Cour européenne de justice (CJUE), qui a conclu que les accords d’association et de libéralisation UE-Maroc, ne sont pas applicables à ce territoire, «n’est pas justifié», a estimé le commissaire européen aux affaires économiques, Pierre Moscovici.
«Les autorités douanières nationales ne devraient pas engager des procédures de recouvrement liées aux importations des produits du Sahara Occidental survenues avant le 22 décembre 2016», a écrit le commissaire européen dans sa réponse à l’eurodéputée Paloma Lopez, qui interpellait la commission sur l’application de l’arrêt de la CJUE, notamment sur les droits de douanes non payés sur les importations en provenance du Sahara Occidental, importations qu’elle a qualifiée d’«illégales» en raison d’une mauvaise mise en œuvre des accords UE-Maroc.
«(…) La commission a informé les autorités douanières des Etats membres que, compte tenu de la nature exceptionnelle des circonstances de l’affaire, exposées dans la décision de la cour, il n’est pas justifié de recouvrir les montants pertinents des droits de douanes auprès des entreprises importatrices», a-t-il expliqué. Le commissaire européen a rappelé, à ce titre, que des «lignes directrices» sur les implications de l’arrêt de la CJUE ont été communiquées aux autorités douanières des Etats membres de l’union, prévoyant qu’en cas de doutes fondés quant à l’origine des marchandises, les autorités douanières doivent procéder à des enquêtes, conformément aux modalités de coopération administrative énoncées au titre de l’article VI du protocole 4 de l’accord d’association UE-Maroc.
Relevant le statut «séparé et distinct» garanti au territoire du Sahara Occidental par la charte des Nations unies, la CJUE a affirmé dans son arrêt qu’«il est exclu de considérer que l’expression territoire du royaume du Maroc, qui définit le champ territorial des accords d’association et de libéralisation, englobe le Sahara Occidental et, partant, que ces accords sont applicables à ce territoire».
Lire aussi
 https://www.tsa-algerie.com/amar-belani-la-commission-europeenne-sest-enfin-resolue-a-mettre-en-application-larret-de-la-cjue/

Une militante internationale des droits de l’homme appelle les Africains à assurer le droit du peuple sahraoui à la liberté et l’indépendance

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The Western Sahara Times, 14/9/2017


GENÈVE (Suisse) – La militante internationale active dans le domaine des changements climatiques et des droits de l’Homme, Catherine Constantinides, a exprimé sa solidarité et son soutien au peuple sahraoui et à son combat juste pour le droit à l’autodétermination et à la liberté.
« Les souffrances du peuple sahraoui depuis déjà quatre décennies sont similaires à celles endurées par le peuple d’Afrique du Sud durant le colonialisme et l’apartheid », a-t-elle déclaré, précisant qu’elle s’engageait à « soutenir pleinement nos frères Sahraouis pour recouvrer leurs droits légitimes », rapportent des sources médiatiques sahraouies.
La question du Sahara Occidental est « la question de tous les Africains », étant la dernière colonie en Afrique, a-t-elle lancé, appelant tous les Africains à s’engager et à ne ménager aucun effort pour assurer le droit du peuple sahraoui de recouvrer son indépendance.
La déclaration de Mme Constantinides est intervenue en marge de sa participation à une conférence tenue au siège du Conseil onusien des droits de l’homme sis à Genève en présence de diplomates, d’ONG ainsi que de parties concernées par la question sahraouie, et ce en marge de la 36e session du conseil.
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J'ai retrouvé Ali Aarrass ce samedi au stand du Comité de soutien au mouvement rifain

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J'ai retrouvé Ali Aarrass ce samedi au stand du Comité de soutien au mouvement rifain (île-de-France) à Paris (Fête de l'Huma). A côté du détenu Bachir Benchaib. En bas : Avec Khadija Ryadi et Marie-Jo Fressard, Solidarité Maroc, auteure du livre qui vient de paraître chez Apso : "Drôle d'occupation pour une grand-mère. Histoires de prisonniers politiques sahraouis, petite histoire du conflit"
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Enquête sur le commerce illégal dans les prisons marocaines

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Hicham Mansouri, 16/9/2017 

Chers ami-es,

Mon projet d’enquête sur le commerce[1]lucratif et illicite prospère dans les prisons marocaines a été sélectionné par l’ONG Press Start. Le financement se fera par Crowdfunding via sa plateforme.


L’enquête est le fruit de mon séjour à la prison de Zaki Salé, durant lequel ​​j’ai pu dessiner la cartographie de ce ​​juteux business. En plus de mon propre témoignage, mes sources sont des prisonniers mais aussi des gardiens de prison qui veulent dénoncer la situation.

J’ai besoin de votre soutien pour dispatcher le lien, ci-dessus, sur vos réseaux sociaux. ​Les contributions financières, même petites, sont aussi les bienvenues !

Merci d’avance.

[1] Drogue, téléphonies, couteaux, nourriture, etc.



 

 



Salah Hamouri : injustice est faite, un déni absolu de droit

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Ainsi donc la « loi du plus fort » est passée ! Dans cette partie du monde la démocratie ne vaut que pour certains : ceux qui depuis 50 ans – en toute impunité - occupent, colonisent, humilient tout un peuple en le privant de ses droits nationaux.
Salah Hamouri, avocat franco-palestinien résident de Jérusalem-Est, est de nouveau victime de cette arme inique utilisée illégalement de façon massive par le pouvoir israélien : la détention administrative. Après avoir déjà été emprisonné 7 ans pour des accusations fantaisistes, il est condamné à 6 mois de détention administrative sans qu’aucune charge ne pèse sur lui et sans avoir eu droit à aucun procès. La détention administrative permet à un pouvoir autoritaire de maintenir en prison sans aucun motif un opposant - ou supposé tel - sans avoir à avancer le moindre commencement d’un début de preuve. De plus cette condamnation est renouvelable à l’infini sans plus de justification. Ils sont actuellement plus de 400, victimes de ce déni de justice et de démocratie, dans les prisons israéliennes, dont des femmes, des enfants, des député.e.s, pour certains depuis de nombreuses années.
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Mohammed VI prive les prisonniers de Gdeim Izik de leurs familles

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Les prisonniers ont été transférés et dispersés dans 6 prisons marocaines ( kenitra , tifelet , eit meloul  , 3ekacha , biuzakaren, Laarjat ). C'est vraiment terrible....
                                                                Message reçu de Mustapha Elmachdoufi
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Gdeim Izik
Les familles des prisonniers ont dénoncé les transferts de leurs enfants vers des prisons éloignées. D. R.
Les proches, parents et familles des prisonniers politiques sahraouis détenus injustement, après le démantèlement violent du camp de Gdeim Izik par les forces marocaines en 2010, ont dénoncé ce lundi les transferts forcés des prisonniers politiques sahraouis vers six prisons marocaines très éloignées de la ville de Laâyoune occupée.
Dans une déclaration reprise par des médias espagnols, les familles des prisonniers politiques sahraouis ont «condamné et dénoncé les transferts forcés de leurs enfants injustement détenus par l’occupant marocain à l’issue d’une série de procès très décriés par les observateurs internationaux ainsi que par les organisations de défense des droits de l’Homme et des associations juridiques françaises, espagnoles et autres». Les prisonniers sahraouis ont été ainsi transférés vers diverses prisons marocaines, dont la plus éloignée de Laâyoune occupée est celle de Tifilt, située à 1 346 km, et la plus proche est celle de Bouzakarine (460 km), ont souligné les familles.
Celles-ci ont, par ailleurs, demandé «une enquête internationale sur les souffrances causées aux prisonniers pendant leur détention et notamment les tortures, les mauvais traitements et la violation constante de leurs droits en état d’emprisonnement». Les parents des prisonniers politiques sahraouis ont également exigé «la libération immédiate des prisonniers politiques afin de mettre fin à leur souffrance».

 Lire la suite :
https://www.algeriepatriotique.com/.../mohammed-vi-prisonniers...





L'ARMÉE MAROCAINE DÉFERLE SUR LE SUD DU SAHARA OCCIDENTAL

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L'ARMÉE MAROCAINE DÉFERLE SUR LE SUD DU SAHARA OCCIDENTAL

Mohammed VI joue avec le feu

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Le souverain marocain a-t-il senti le vent tourner pour bomber le torse? La démonstration de force des forces armées royales intervient en effet dans la foulée de la rencontre entre le représentant de l'ONU pour le Sahara occidental et une délégation du Front Polisario qui s'est tenue à New York, au siège des Nations unies. Une première prise de contact qui consistait à explorer les pistes qui doivent conduire à un règlement du conflit au Sahara occidental à travers l'organisation d'un référendum qui puisse garantir le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui. Un option que le monarque marocain ne veut pas entendre. C'est vraisemblablement ce qui l'a conduit à montrer ses «muscles». L'armée d'occupation marocaine FAR a commencé depuis hier (jeudi Ndlr) le déploiement d'unités militaires par voie aérienne et terrestre dans le sud du Sahara occidental en présence des Casques bleus (Mission des Nations unies pour le référendum au Sahara occidental), a rapporté l'agence espagnole EFE citée par le site d'information Algérie patriotique. Des blindés, des chars et des troupes continuent à former la ligne de défense qui a été établie à nouveau au poste frontalier entre la Mauritanie et le Sahara occidental, Guergarat, a souligné le média ibérique. «Les premières unités aériennes marocaines sont arrivées dans cette région hier après-midi (14 septembre, Ndlr). Le contingent, avec une moyenne de plus de 300 personnes, est composé d'unités de commandement, de communications et de soutien logistique, d'une équipe de démineurs et d'une unité de soutien au déploiement de l'air», a écrit EFE. «Ce qui se passe dans le sud du Sahara occidental est de plus en plus préoccupant», alerte le média espagnol qui signale que «plusieurs radars couvrent la région, y compris plusieurs avions pour le transport des troupes modèle Lockheed Hercules C-130». Le Maroc qui a vraisemblablement perdu la partie sur le plan diplomatique cherche à en découdre. Il n'en est pas à sa première provocation. Le 11 août 2016, les forces d'occupation marocaines ont procédé au Sahara occidental, et à plusieurs reprises, à la traversée du mur militaire marocain vers la zone d'Al Guergarat, située dans le secteur de la 1ère Région militaire sahraouie. La tension semblait être retombée après que Rabat eut décidé de retirer ses troupes. Un nouveau palier semble avoir été franchi cette fois-ci. «Le détachement militaire marocain a également des experts dans des dispositifs sophistiqués de surveillance. Ils ont formé une ligne de défense», rapporte EFE, première agence de presse en langue espagnole dans le monde. Le souverain marocain semble jouer son va-tout depuis qu'il a pris la décision d'expulser la composante civile de la Minurso après que l'ex-SG de l'ONU, Ban Ki-moon a qualifié la présence marocaine d'«occupation» lors de sa visite au mois de mars 2016 dans les camps des réfugiés sahraouis. Depuis, les actions du Maroc sont devenues imprévisibles. Le roi a fait dans l'excès de zèle et a sous-estimé les conséquences d'une telle mesure. En s'affichant de nouveau à El Guergarat il vient de jeter de l'huile sur le feu. Comme il vient de confirmer qu'il piétinera l'acte constitutif de l'UA à laquelle il vient d'adhérer et qui lui stipule qu'il doit respecter les frontières héritées de la colonisation. Le monarque alaouite joue incontestablement avec le feu. Si l'option de la solution politique a été de tout temps privilégiée par le Front Polisario, il n'a pas exclu de faire parler la poudre si les provocations marocaines ne cessaient pas. Le président sahraoui Brahim Ghali a insisté sur l'«importance de promouvoir les capacités et les préparations de l'Alps (l'Armée de libération du peuple sahraoui, Ndlr) en tant que force principale capable de garantir la victoire et faire face aux défis et dangers que représentent l'escalade et ses violations du cessez-le-feu signé entre les deux parties, le Front Polisario et le Maroc...». Mohammed VI est prévenu.

Marokko hadert mit seinem König

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Mohammed VI. will Marokko mit Mini-Reformen in die Zukunft führen. Doch sein "Königsweg" wird infrage gestellt. M6 hat mit sozialen Unruhen, islamistischen Politikern und Terroristen zu kämpfen.
Hafid Mohammed arbeitete bis vor wenigen Tagen in der spanischen Exklave Melilla mit marokkanischen Jugendlichen. Der 39-jährige Spanier hat selbst marokkanische Wurzeln und sollte seinen Schützlingen eigentlich den richtigen Weg ins Leben weisen. Stattdessen baute er das Jugendzentrum offenbar in ein Dschihadistenzentrum um.
Mohammed soll Anführer einer sechsköpfigen Terrorzelle sein und wurde deshalb in der vergangenen Woche von spanischen Ermittlern verhaftet. Die fünf weiteren Mitglieder wurden in Marokko festgenommen. Sie haben "Anschläge großen Ausmaßes" geplant, teilte das spanische Innenministerium mit. Unter anderem hätten die Männer geübt, wie sie Menschen enthaupten könnten.
Wenige Wochen nach dem Anschlag in Barcelona waren die Behörden also dieses Mal schneller als die Terroristen, die eines einte: Sowohl die Mitglieder des Sextetts von Melilla als auch die der zwölfköpfigen Terrorzelle um den radikalen Imam Abdelbaki Es Satty stammten aus Marokko oder hatten marokkanische Wurzeln.
Marokko hat ein Imageproblem
Das Ansehen der nordafrikanischen Monarchie in Europa leidet darunter. In Marokko selbst gab es seit 2011 keinen Terroranschlag mehr. Und doch hat auch das alawitische Königreich mit den Radikalen zu kämpfen.
Rund 1600 Marokkaner sollen in den vergangenen Jahren das Land verlassen und sich der Terrormiliz "Islamischer Staat" angeschlossen haben. Sie waren damit eine der größten ausländischen Gruppen im sogenannten Kalifat, das in Syrien und Irak mehr und mehr bröckelt. Die Rückkehrer und potenziellen Gefährder versucht Mohammed VI. mit seinem Sicherheitsapparat in Schach zu halten. Er arbeitet dabei eng mit den europäischen Antiterrorbehörden zusammen.
In Europa kennt sich der Französisch, Spanisch und Englisch sprechende Vater von zwei Kindern bestens aus. Er wurde in Nizza zum Dr. jur. promoviert. Seit einigen Jahren forciert der 54-Jährige aber auch die Zusammenarbeit mit afrikanischen Staaten.
"Visionäre und kluge Strategie"
Im Januar trat Marokko wieder der Afrikanischen Union (AU) bei. Das Land war 1984 ausgetreten, da eine Mehrheit der AU-Mitglieder die Westsahara-Guerilla der Polisario-Front unterstützt hatte.
Die Westsahara ist eine ehemalige spanische Kolonie, die Marokko 1975 annektiert hat. Die Polisario-Front fordert einen Volksentscheid über die Selbstständigkeit der Region, das Königshaus lehnt das ab.
Zum anderen hat der König mit einer Rebellion der Berber in der Rif-Region zu kämpfen. Die ethnische Gruppe demonstriert gegen ihre systematische Benachteiligung durch die ferne Staatsmacht, gegen Polizeigewalt, staatliche Willkür und hohe Jugendarbeitslosigkeit. Auf diesem Bild sind Demonstranten in Rabat zu sehen, die mit ihrem Protest die Aktivisten in der Rif-Region unterstützen.Foto AP
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